Départ pour Pikes Peak sous un ciel couvert qui s’éclaircit assez vite. La route suit la vallée du Colorado.
En prenant de l’altitude, paysage hivernal
A Dotsero, la route change de vallée pour celle de l’Eagle river
Après plusieurs cols entre 2 et 3000 m, la ligne de partage des eaux à 3450 m
Puis descente sur un plateau à 2800 m
Retour des cultures et des fermes
Arrivée dans le parc de Pikes Peak. Le sommet apparaît, la pression monte.
Au pied de la montée, il est 12h30, repas dans un petit restaurant végétalien sur fond musical de Hendrix, Santana, Stones, Cream … de l’âge de la Ds.
Après le réconfort des passagers, l’effort de la DS : dénivelé 2400 m sur 19 miles. La vie n’est pas juste!
À 7 miles du péage, il est 13h24 la Ds est prête au départ sur la trace de la 208 de Loeb. Il reste un dénivelé de 1450 m sur 20 km
Superbe route
Respect de la vitesse, ce qui n’a pas été le cas de Sébastien 😉
Il n’y a pas toujours de parapets
Arrivée au sommet à 13h58, soit 34 minutes.
26 minutes de plus que la 208 mais avec 700cv de moins : pas si mal la Ds👍💪
Trop contents
Sous le soleil, un vent avec des rafales à 60 kmh, une température de -3° le paysage à 360° est une fois de plus magnifique.
Pikes Peak est desservi par un train à crémaillère mais pas évident de trouver une correspondance pour Pignans 😉
Carte du monde interactive pour tracer sa présence
Le retour est vertigineux car le vide apparaît
La descente est presque terminée, dernière vue du sommet pour aujourd’hui. Bravo à la DS qui en plus de Pikes Peak est passée par plusieurs cols de 2600 m à 3400 m.
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